Mardi 4 mars, 18h00 : Conseil de quartier Saint Victor.

Jeudi 6 mars, 18h00 : Première réunion et mise en place du conseil de la jeunesse.

Mardi 11 mars, 18h00 : Conseil de quartier Val de Grâce.

Jeudi 13 mars, 18h00 : Conseil d'Arrondissement.

Vendredi 21 mars, 18h00 : Conseil de quartier Sorbonne.

Jeudi 27 mars, 18h00 : Réunion du CICA (Comité d'Initiative et de Consultation d'Arrondissement) sur EDF-GDF et le CNDP.

Vendredi 28 mars, 18h00 : Conseil de quartier Jardin des Plantes.

Lieu : Mairie du 5e, 21 place du Panthéon

Mr Jean TIBERI avait réuni pour le grand spectacle politique de ce début d'année, une foule nombreuse de supporters.

Après avoir refusé une fois de plus de préciser les conditions d'attribution des places en crèche et de la mise en place de la commission d'attribution ou de préciser quels sont les horaires attribués aux associations sportives occupant le Gymnase des Patriarches, Mr TIBERI s'est livré à une attaque en règle de la gestion centrale de la Mairie de Paris refusant la régle de la solidarité à l'égard des arrondissements de Paris qu'il a si souvent délaissé du temps de sa mandature.

Il a trouvé inacceptable le soutien aux quartiers de l'Est parisien prétextant que le 5ème arrondt devenait une quartier délaissé de la Mairie de Paris, sous oublier de préciser que néanmoins le 5ème demeurait l'arrondissement le plus agréable de Paris selon un récent sondage.

Tous les moyens rhétoriques, dont ce professionnel de la politique politicienne a l'habitude, ont été utilisés à cette occasion et l'opposition en général et Mme Cohen-Solal en particulier a du essuyer des insinuations et des insultes d'une rare violence.

Les Radicaux de gauche s'élèvent vigoureusement contre ce harcèlement moral inacceptable et demande qu'une protestation soit adressé par le Maire de PARIS à l'égard de Mr TIBERI.

Faux électeurs du 5e : un rapport établit l'implication du "couple Tiberi" dans la fraude

Les enquêteurs ont conclu de l'exploitation d'un fichier informatique que des logements sociaux étaient attribués en échange d'inscriptions frauduleuses dans l'arrondissement de l'ancien maire de Paris.

Le Monde

La "Maison pour Tous" de la rue Mouffetard à Paris (Vè), est sans conteste l'ancêtre des M.J.C.. Mais elle est aussi un espace d'expérimentation des mouvements de jeunesse et d'éducation populaire, des centres sociaux et socioculturels.

En 1906, une étudiante, Catherine Descroix, vient loger rue Mouffetard et crée une association appelée "Chez nous". Grâce aux bénéfices de la vente de chaussures fournies par une coopérative de Fougères (!), elle organise des colonies de vacances, des conférences, une bibliothèque, des sorties appelées "caravanes"... Après son départ, André Lefevre dit "Vieux Castor", et Marthe Levasseur prennent le relais, renforcent l'équipe et viennent s'installer au 76 de la rue Mouffetard, ancien siège de l'Université Populaire où Jean JAURES lui-même se serait adressé aux ouvriers parisiens.

Après la première guerre mondiale, l'équipe de La Mouffe met en place un cinéma, ouvre un restaurant, un bar "antialcoolique", organise des colonies de vacances en province, gère une "caisse de solidarité et des loyers" pour les familles défavorisées du Vème arrondissement de Paris.

La Maison Pour Tous associe rapidement et volontairement catholiques et protestants, israélites et laïques, ce qui la conduit à rompre avec le catholicisme militant que Catherine Descroix, de retour de l'armée où elle était infirmière, voulait - contre tous - imposer. Cette rupture annonce l'esprit de laïcité ouverte et active qui fondera plus tard la démarche éducative originale des Maisons des Jeunes et de la Culture : ouverture à tous quels que soient l'origine sociale et le niveau d'instruction, refus d'être inféodé à un quelconque parti ou confession, confrontation de toutes les opinions sans crainte du conflit mais dans le respect de l'autre et des règles du débat démocratique.

Après la Libération, avec l'arrivée de "Bill" (Georges BIBILLE) la Mouffe rattachée à la "République des Jeunes" puis à la Fédération Française des M.J.C., prend une ampleur culturelle considérable, tout en gardant sa dimension de structure de jeunesse et d'éducation populaire. Nombreux comédiens, cinéastes, plasticiens, musiciens, chanteurs, poètes, y font leurs premiers pas tels que Raymond ROULEAU et Raymond DEVOS.

Paris chante Brassens

Samedi 7 juin

14h30-16h00
"Salut Brassens" avec Joël Favreau
17h30
"Les Copains d'abord", les plus grands succès de Georges Brassens en choeur avec le public.
19h00
"Lundi 7h"
Groupe suisse constitué de 15 voix d'hommes a capella et dirigé par Pierre Huwiler.
19h45
"A Brassens"
par le "Rodolphe Raffalli Quartet"

Dimanche 8 juin

15h30
"Brassens créole"
Sam Alpha
17h30
"Brave Margot ..."
Les plus grands succès de Georges Brassens en choeur et en public.
18h30
"Paris chante Brassens"
avec le public et les choristes des Muscadines
19h00
Finale du concours national d'interprétation chorale
20h00
Choeur Georges Brassens de Moscou
Un choeur de jeunes moscovites dirigé par Alexandre Avanessov.

Lundi 9 juin

14h00
Présentation des Chorales lauréates du Concours -
Remise des prix
15h30 - 17h00
Concert "Paris chante georges Brassens" aux Arènes de Lutèces
avec le public de Paris et les 500 choristes des Muscadines

Festival OFF:
Place de la Contrescarpe de 13h à 20h
tout le week-end de Pentecôte